AGCT - 01- Nouvelle séquence de l’humain |
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L’homme moderne est classifié par les anthropologues comme homo sapiens sapiens. Cette espèce, qui règne maintenant sans conteste sur la planète terre a évolué d’animaux comme les pré-humains australopithèque plus récemment. Ce lignage évolutionnaire a inclus des cousins primitifs comme l’homo érectus et nos ancêtres des cavernes, l’homme de Néanderthal. Jusqu’à maintenant l’évolution de l’homme a suivi un sentier indéterminé naturel sélectionné par l’ADN dans son voyage dans le temps. La nouvelle séquence de l’humain va être basée sur l’insémination artificielle d’informations digitales et génétiques à l’intérieur même de la bête ADN. L’humain
est défini en termes anthropologiques physiques et culturels.
Dans ce contextes, l’évolution de la société humaine
est au moins aussi importante que l’évolution de l’espèce
physique elle-même. Un facteur clé dans l’évolution
du royaume humain sur terre a été les avancements de notre
société en science et en technologie. La nature évolutionnaire
des artefacts humains sont ici représentés par les os-outils
des australopithèques qui mimiquent la fonction de la main humaine
et les nouvelles avancées en biotechnologie et l’informatique.
Dans le sens qu’elles sont l’extension du cerveau humain et dans le
cas d’internet, les individus sont l’extension d’une plus grande structure
de connaissances. Ici, les technologies génétiques ne
sont pas seulement une extension de l’homme, mais elles deviennent un
et la même. Les chemins
évolutionnaires de l’homme, sa culture et sa technologie convergent
vers la nouvelle séquence de l’humain. Ainsi, l’homme, La technologie,
la culture ne peuvent pas être déconstruites, isolées
et analysées indépendamment de cette nouvelle réalité. par
Jock Langford, Environnement Canada - Ottawa - Jan. 1998 |
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